Gollum ou Barbie, à vous de choisir !

Si j’en crois mes copines célibataires, le marché des hommes libres est loin d’être simple. En dehors de ceux qui ne sont intéressés que par un rendez-vous axé reproduction (sans reproduction bien sûr), ceux qui sont névrosés et les tordus en tout genre, mes copines galèrent et pensent que les hommes libres (vraiment libres) et bien sous tous rapports (sous-entendu sans tare ou vice caché) sont une denrée rare. Mais non les filles ! Et pourtant…

Il semblerait que ces Messieurs recherchent des femmes :

-Belles (voire très belles parce qu’ils le valent bien).

-Avec de gros seins et/ou un magnifique fessier (l’un ou l’autre, mais les deux c’est mieux ! Avec du silicone s’il le faut, parce que c’est plus sympa). Oui parce que ces hommes-là se foutent de savoir si vos appâts sont naturels ou pas, et à la limite ils préfèrent le « pas naturel » du moment que ça tient tout seul ou que c’est splendide dans un skinny.

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-Avec un ventre super plat parce qu’ils n’ont pas compris que Barbie est une poupée, pas une femme. Pour ceux qui croient encore que Barbie est une nana, il vaut mieux qu’ils se tapent une vraie poupée qui les supportera, et du genre de celles qu’ils achètent sur Internet.

-Avec des cheveux longs, trèeees longs… On n’est pas au Moyen-âge les gars ! Mais si un peu quand même… Car certains trouvent ça plus pratique dans certaine circonstance peut-être… Eh les mecs, je vous rappelle que les femmes dans les années 20 se sont libérées du joug masculin en enlevant leurs corsets et en se coupant les cheveux. Avoir les cheveux longs ne signifie plus être soumise, et noooooon !

-Grandes. Ben oui, les mannequins font 1,70 m mini et qu’après tout, les mecs ne doutent de rien surtout quand ils ne sont pas grands… Pourtant, tout ce qui est petit mignon non ?

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-Jeunes. Oui, plus elles sont jeunes, moins elles sont exigeantes hein Messieurs ? Mais les p’tites jeunes aiment-elles les p’tits vieux ?

-Hyper sexy même plutôt vulgaires si possible, voire très très vulgaires… Même si la nana pouvait être un appel au sexe ambulant, ça serait encore mieux ! Certains d’entre eux penseraient qu’une tepu n’est pas qu’une professionnelle (honorable somme toute puisque ces professionnelles cotisent et payent des impôts je vous le rappelle), mais qu’elle devrait être une marchandise facilement accessible même pour les boudins… Mais nan !

-Avec beaucoup de style et d’allure. Comprendre : plutôt un look de « femme ayant beaucoup servi » comme le dit Manon, absolument pas chic ni élégante naturellement parce que bon… Le léopard, la dentelle et les résilles, ça ne va pas avec le col Claudine. De même que des talons aiguille sur des nanas qui ne savent pas déambuler avec, c’est pas sexy. Les mecs devraient les préférer aux pieds de leur nana pendant une étreinte du panda ou pendant une culbute plutôt qu’à les voir se dandiner en ville ou au bureau comme des pingouins… Enfin… Certaines…

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-Et surtout… Surtout pas intelligente pour 2 sous parce que faut pas pousser, après une copulation de 2 minutes 30, on ne demande pas à une nana de revoir le PIB de la France, ni de préparer un plan d’urgence pour sauver la planète.

Le truc, c’est que ces hommes-là n’ont pas compris que les femmes pensent :

-Qu’ils ne sont pas forcément aussi beaux qu’ils le pensent et que leur sex appeal laisse parfois à désirer…

-Que d’ailleurs côté silhouette, ils ne sont pas toujours musclés, ni bien faits de leur personne ou physiquement intelligents.

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-Que le bide chez un homme est aussi rédhibitoire que chez une femme, les mecs… Alors attention bière/canapé/foot ce n’est permis qu’aux beaux gosses athlétiques, hein  !

-Que déjà pour un homme, c’est bien d’avoir des cheveux

-Que pour vouloir une femme grande et belle, c’est mieux de ne pas ressembler à un Troll !

-Que lorsqu’un homme a un certain âge, il faut avoir le cerveau d’Einstein, avoir de la conversation, être charmant, avoir du fric, être un dieu du sexe ou être absolument fascinant… Sinon… C’est mort !

-Qu’une nana hyper sexy sortira rarement avec la version de Gollum (en moins mignon parce que pas touchant) ou alors il a quelque chose qui remplace son manque d’intelligence physique. A noter que pour se taper Monica Belluci, Megan Fox, Keira Knightley ou encore Kristen Stewart, c’est plus facile quand on est Brad Pitt, Daniel Craig, Jamie Dornan ou Jake Gyllenhaal.

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-Qu’on n’attrape rarement les mouches avec du vinaigre ! Que l’allure de plouc attire généralement l’allure de plouc ! Souvent les femmes n’ont pas forcément envie de ressembler à Rita Ora ou aux sœurs Kardashian si elles ont un style à la Grâce Kelly, à la Kate Blanchett ou à la Nicole Kidmann…

-Et qu’effectivement si la minette accepte ce cahier des charges, il est peu probable qu’elle soit intelligente, donc aucun risque que ça ne fonctionne pas ! Parce que si son Q.I. dépasse la moyenne, elle mettra forcément un vent à ce type boulet…

Certains hommes n’ont toujours pas compris qu’au XXIème siècle, les femmes ont du pouvoir, voire LE pouvoir… Et que par conséquent, elles peuvent choisir, elles aussi, des hommes qui répondront à leurs critères. Mais oui Messieurs, c’est de bonne guerre non ?

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Les gars, je sais que vous allez me dire que les nanas ne sont pas simples non plus, voire qu’elles sont parfois relou. Je vous répondrais que vous avez raison, mais qu’après tout, je suis solidaire de mes adorables copines qui sont si dépitées par les vilains bad boys que vous êtes !

Les filles, les hommes intéressants et sérieux existent encore (je le sais, j’en ai un) ! Il faut continuer de chercher et ne pas désespérer. Il y en a forcément pour vous… Et rappelez-vous ce que disait Marylin Monroe : « Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d’hommes si je peux y être une femme. ».

Antoine Albeau, Champion du Monde de Windsurf !

Connaissez-vous les nouveaux chevaliers sans peur et sans reproches d’aujourd’hui ? Ils dominent les vagues de Maui et d’incroyables spots partout dans le monde, et/ou filent à toute vitesse sur la mer des Caraïbes… Eh bien, moi, oui… J’en connais un ! Et pas n’importe lequel, puisque c’est THE légende du windsurf, le dieu incontesté du Funboard depuis 25 ans : Antoine Albeau, 25 fois champion du Monde et sportif français le plus titré de l’histoire !

Et ouiiiiiiiiiiiiii les filles… Antoine est terriblement charmant et impressionnant aussi (1,85m, 100kg). Il a un sourire à tomber, mais surtout, il est super abordable. Pourtant, c’est un véritable mythe. Tous les windsurfers rêvent de le détrôner. Il est LA cible, l’homme à abattre ! Bon courage les gars ! Parce qu’à 46 ans, ses nerfs et sa volonté sont en acier trempé, sa stratégie s’est affinée et il est toujours présent avec son implacable expérience !

Il remet son titre en jeu cette année ?

Comme tous les ans, oui ! 2019 sera sa 26 PWA.

Antoine Albeau
Antoine Albeau

La coupe du monde de Windsurf (la PWA – Professional Windsurfing Association) a commencé début avril à Bonaire, au sud des Caraïbes, au large des côtes du Venezuela. La semaine dernière, c’était à Marignane (près de Marseille) L’agenda de l’internationale compétition fait rêver. Elle se terminera à la fin de l’année en Nouvelle-Calédonie.

Bonaire (9-13 avril) Style libre
Marignane en France (17-22 avril) Slalom
Japon (10-15 mai) Slalom et Foil
Corée (18-23 mai) Slalom (à confirmer)
Costa Brava en Espagne (28 mai – 2 juin) Foil
Portugal (15-22 juin) Slalom, ski acrobatique, foil
Grande Canarie (14-20 juillet) Vague
Fuerteventura (25 juillet – 3 août) Freestyle, Slalom
Ténérife (5-11 août) Vague
Klitmøller au Danemark (9-14 septembre) Vagues hommes
Hvide Sande au Danemark (17-23 septembre) Slalom
Sylt en Allemagne (27 septembre – 6 octobre) Vague, Slalom, Freestyle
Maui à Hawaï (27 octobre – 9 novembre) Vague
Nouvelle-Calédonie (19-24 novembre) Slalom et Foil

Seule l’élite des coureurs reçoit une Wild Card (une invitation) pour participer à ces épreuves.

Antoine Albeau
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Trois manches sont à valider, dans lesquelles les riders s’affrontent par pool de 8. A la fin des trois manches, le nombre de points de la plus mauvaise manche de chaque coureur est retiré. Celui qui aura le moins de points sera le vainqueur.

Sans compter qu’à la fin de l’année (en novembre), Antoine Albeau tentera de battre son propre record du monde de vitesse à Cape Town en Afrique du Sud.

 Comment il a fait pour en arriver là ?

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Son père, Jean-Marie Albeau, était déjà véliplanchiste dans les années 70, l’un des pionniers du windsurf en France. En 1978, il participe au championnat de France et se classe. Passionné par le nautisme et la glisse, il ouvre un club de voile à la Couarde en mer (sur l’île de Ré). Si les origines du surf remontent au XVème siècle à Hawaï, on découvre le début de la planche à voile à la fin des années 60 aux États-Unis.

Ce sport est nouveau lorsque Antoine est enfant. Il n’y a pas encore de gréement pour les petits, ni flotteur, ni wishbone adaptés. Les wishs sont alors en bois et par conséquent, sont très lourds. Jean-Marie conçoit lui-même un équipement pour son fiston. Il coupe le haut d’une voile en rapport avec la taille d’Antoine et fabrique aussi un petit mat ainsi qu’un petit wishbone.

A 5 ans, entre deux châteaux de sable, Antoine s’amuse sur sa planche sous l’œil vigilant de son paternel.

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L’industrie de la glisse produit des équipements enfants lorsque notre champion a 10/11 ans. Il est prometteur, et commence à s’entraîner à 12 ans par plaisir, mais aussi parce qu’il découvre le goût de la compétition. Et c’est à 14 ans (en 1986) qu’il gagne son premier championnat de France en minime. Il s’entraîne l’été, et navigue avec son père, l’hiver.

Il comprend que s’il bosse dur, il va peut-être pouvoir vivre de sa passion. En parfait compétiteur qu’il est, il intègre Sport Études et pratique le circuit olympique. Mais lui, c’est la vitesse et les vagues qui le font vibrer. A côté de ses cours, il s’éclate dans le funboard. Son entraîneur voit ça d’un mauvais œil, car Antoine manque forcément quelques entraînements.

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Ses grands-parents le sermonnent et ne comprennent pas que la planche à voile devient son métier. Ils lui demandent régulièrement quand est-ce qu’il va enfin travailler raconte-t-il avec le sourire. Sportif, à l’époque, n’est pas un job sérieux, même si aujourd’hui c’est un métier plébiscité. Il redouble d’efforts et apprend tout seul à organiser ses courses, ses entraînements, ses voyages, car durant ses études, tout est géré par l’école.

Et puis c’est l’époque des Dieux vivants du Windsurf : Björn Dunkerbeck (44 titres mondiaux), Robby Naish (un des premiers athlètes à être connu dans cette discipline), Robert Teriitéhau (7 fois champion de France, et vice-champion du monde en 1995) … Antoine Albeau navigue avec eux (ou plutôt contre eux) et rafle le titre de champion du Monde dès 1993… Depuis il ne l’a jamais plus rendu.

Le funboard : une équipe olympique grâce à Antoine Albeau

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Le windsurf jouit d’une aura magique où l’on voit en permanence de beaux mecs sur des planches se faire plaisir sur des océans dans le monde entier. Ça a l’air facile, simple et c’est bluffant. Mais le funboard, c’est aussi des entraînements rigoureux, de l’endurance, un mental d’acier, de la stratégie, de l’agilité… C’est un corps qui travaille en permanence, et de l’expérience pour que tout ça ait l’air facile justement. La connotation de plaisir tient d’ailleurs dans son nom : FUNBOARD. Mais comme tous les sports, c’est une discipline exigeante.

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Il y a 10 ans environ, avec Didier Flam, Antoine Albeau a l’idée de créer une équipe de funboard pour les jeux Olympiques dont il est le Capitaine aujourd’hui. Ainsi, les funboarders passent du droit d’acheter une licence à s’organiser pour les entraînements, avoir un kiné sur certaines épreuves de coupe du monde, avoir une attachée de presse, des conseils juridiques pour le sponsoring, être considéré comme un sport à part entière…

 

« C’était nécessaire cette reconnaissance ! Ça créé une élite pour les jeunes… Ça leur donne un but. Ça les booste ! » me précise Antoine Albeau.

La reconnaissance du monde du nautisme

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Serait-ce grâce à son hallucinant palmarès, à sa bonne humeur, sa gentillesse, à son tempérament humble, ou encore à son côté coriace qu’Antoine Albeau a les honneurs du monde de la voile ? Je ne sais pas, mais ce qui est sûr et certain, c’est que le nautisme a salué son incroyable parcours. Elu Marin de l’année en 2010, il a participé au jury en 2011, a été nommé 13 fois au côté de skippers comme François Gabard, Loïc Peyron, Francis Joyon…

Chaque année, il n’y a que 2 à 4 marins en lice pour ce titre. Cette reconnaissance du monde de la voile est une vraie consécration. Grâce à ses nominations, il a pu porter et promouvoir la planche à voile.

Sa vie ressemble à quoi ?

Antoine Albeau
Antoine Albeau

On oublie ou on ignore trop souvent que les sportifs de haut niveau sont aussi des chefs d’entreprise. Antoine Albeau gère seul sa carrière. Ambassadeur de la Charente-Maritime et de l’île de Ré, il est aussi conducteur de camion (pour transporter son matériel), travel agent (agent de voyage) pour ses réservations de voyages, un peu juriste à ses heures perdues car il négocie directement ses contrats de sponsoring.

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Lorsqu’on consulte l’agenda de la PWA, on s’aperçoit que d’avril à novembre, il est tous les mois pour monts et par vaux, sillonnant la planète pour dompter les éléments. De décembre à mars les entraînements ne peuvent pas cesser. La météo en France n’est pas favorable à ses entraînements en hiver. Il est donc obligé de naviguer où le temps est clément. Ainsi, Antoine Albeau le Champion du monde de windsurf devient globe-trotteur.

Le bureau de son sponsor de voile (NeilPryde) est à Hawaï :

« En mars, je m’entraîne avec mes nouvelles voiles et les autres riders. C’est bien de s’entraîner ensemble. Je suis Chef « testeur » pour les voiles et les planches. Le designer me propose des choses par rapport à ce que je veux. Il me propose et je teste avec les autres riders. Il faut beaucoup de temps de navigation pour l’évolution du matériel ! »

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Par exemple, cette année, Antoine était entre Miami, Tarifa (au sud de l’Espagne) et Hawaï. Ce qui implique qu’il voyage en permanence. Il n’est pas longtemps chez lui (en général quelques jours seulement), mais Dieu merci, il peut rentrer souvent pour profiter de sa famille, de sa délicieuse compagne Paola et de son adorable petit garçon de 2 ans 1/2.

Antoine sait cependant s’entourer de personnes de confiance, car c’est sa mère et Paola qui gèrent son administratif.

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Avant une compétition, Antoine Albeau a une grosse phase de préparation physique avec son kiné qu’il agrémente de séances de musculation. Mais le truc le plus compliqué à gérer, c’est son alimentation. En effet, c’est galère puisqu’il voyage toute l’année (aéroports, restaurants, etc…) ! C’est peut-être ça son plus grand défi.

Tous les jours, il poste des stories sur son compte Instagram sur lequel vous pouvez le suivre. Matins et soirs, il consulte ses mails et répond à ses messages Facebook. Il répond à tous, autant que possible.

Un conseil pour les jeunes windsurfers qui veulent en faire leur métier ?

Antoine répond à ma question avec le sourire : « Il y a beaucoup de jeunes passionnés. Quand ils me voient, ils se disent pourquoi pas moi ? Ils sont super bons. Il faut qu’ils se rapprochent des écoles de sport, avoir quelqu’un qui les entraînent. Tu peux le faire par toi-même mais c’est beaucoup plus dur. Comme dans tous les sports : conseils, entraînements, motivation, envie, plaisir, quelles compétitions faire, quel matériel… C’est plus simple de se diriger vers les clubs. »

Que penser d’Antoine Albeau après cette rencontre ? Peut-être que les légendes sont les personnes les plus simples et les plus abordables. Peut-être parce qu’ils savent ce qu’ils valent et qu’ils n’ont plus rien à prouver. Antoine nous démontre surtout que quand on veut, on peut… Mais tout de même, lui-même l’avoue : la réussite dans tout ce qu’on entreprend, c’est de la volonté (beaucoup de volonté), du travail (beaucoup de travail) et du plaisir… Beaucoup de plaisir !

Antoine Albeau
Antoine Albeau

Pour terminer cette rencontre et m’amuser un peu, j’ai demandé à mon invité de se soumettre au rituel du blog. Proust, encore adolescent, avait répondu à 35 questions du célèbre jeu anglais à la mode au XIXème : «Confessions». Le voici remis au goût du jour avec moins de questions et revisité, pour découvrir ses goûts, ses aspirations et peut-être ses secrets. Il a le choix entre 2 questionnaires. Antoine Albeau a choisi de répondre aux deux ! Ils sont publiés tel qu’il y a répondu :

Le questionnaire de Proust :

  1. La vertu que je préfère… La loyauté
  2. Ce que j’apprécie le plus chez mes amis (ies)… L’amitié, la vraie, la sincère, celle qui ne tient pas compte de ce que je représente
  3. La qualité que je voudrais avoir… Je voudrais plus partager avec mon entourage. Je vis plein de choses géniales mais loin de ceux que j’aime
  4. Mon principal défaut… Je suis trop têtu, trop tenace… J’ai fait trop de sacrifices pour moi qui ont été mal vécus par les autres…
  5. Le bonheur c’est… Avoir une bonne vie de famille et ne pas vivre dans le besoin
  6. Le plus grand malheur qui pourrait m’arriver, c’est… Perdre quelqu’un de ma famille
  7. L’application que je préfère… Aero Weather pour mes entraînements
  8. Mes écrivains favoris… Je n’en ai pas un en particulier. J’aime ceux qui me font vibrer…
  9. Mes sites/blogs préférés… Windguru (lien) toujours pour la météo
  10. Mes héros/héroïnes dans la vie réelle… J’hésite entre Kelly Slater ou Usain Bolt
  11. Mon personnage historique préféré… Ceux dont les actes parlent d’eux-mêmes
  12. Ce que je déteste par-dessus tout… La jalousie
  13. Si j’avais un pouvoir Marvel, ce serait… Ceux d’Hulk : Être le plus fort et le plus résistant
  14. Les fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence… Les erreurs en compétition et les erreurs de jugement
  15. Ma devise, c’est… Trash the competition but not the world ! (Déchires tout pendant la compétition, mais ne pourris pas le monde/la planète)

Le questionnaire Ange ou Démon :

  1. Mon pire défaut : Je ne veux pas le dire parce que mes concurrents ne doivent pas le savoir (Rire)
  2. La qualité que je ne voudrais surtout pas avoir : Être trop franc
  3. Blonde ou brune ? Pas d’importance. Il n’y a pas que ça !
  4. Plutôt sado ou plutôt maso ? Je croyais que les deux allaient ensemble ?
  5. Mon vice préféré : Pareil que mon pire défaut… Faut pas que mes concurrents le découvrent (rire)
  6. Cigale ou fourmi ? Fourmi
  7. Plutôt ange ou plutôt démon ? Plutôt démon, mais je me bonifie… Je deviens ange…
  8. J’ai déjà menti à mes parents… Mais à tout le monde !!! (Rire)
  9. Mer ou montagne ? Mer sans aucun doute !
  10. En solo ou en duo ? En duo
  11. Le rêve le plus fou que je n’ai pas encore réalisé, c’est… Traverser l’Atlantique !
  12. Ma course préférée : sprint, marathon ou trail… Sprint
  13. Je préfère être perfide, naïf ou belliqueux : Haha… Belliqueux (Rire)
  14. Le site/blog/application que j’aime le moins, c’est… Mes réseaux sociaux à cause du temps que j’y consacre
  15. Ma devise, c’est… Trash the competition but not the world ! (Déchires tout pendant la compétition, mais ne pourris pas le monde/la planète)
Antoine Albeau
Antoine Albeau

Pour suivre Antoine Albeau…

Site : http://www.antoinealbeau.com/aa192/

Sa page Facebook :

Antoine Albeau F192

Son compte Instagram :

Antoine Albeau

Les 7ème Olympiades intergénérationnelles de Marans

S’il y a quelque chose que j’adore, ce sont les actions positives et sympas ! Et mélanger des anciens et des enfants, je trouve ça génial ! Le jeudi 25 avril, de 10h à 17h, à la salle polyvalente de Marans, auront lieu les 7ème Olympiades intergénérationnelles sous le thème de l’écologie.

Les résidents des EHPAD et les enfants des Centre de Loisirs de Marans et de Saint-Jean-de-Liversay déjeuneront ensemble autour d’un pique-nique, puis s’offriront un goûter festif. Mais le truc le plus plaisant, c’est qu’ils vont aussi s’amuser avec des épreuves qui me plaisent beaucoup, vu que je ne suis pas sportive mais active tout de même. Il y aura :

– Un quiz sur le temps de dégradation des déchets

– Un parcours relais sur le tri

– Une base création d’une sculpture recyclée

– Une épreuve de lancer

– Du volley assis

– Un jeu de palet au sol

– et de la pétanque d’intérieur

C’est bien pensé non ? Alors mes Adeladdicts, on se donne rendez-vous ?

Voyages immobiles

Vous connaissez bien Nicolas Messner maintenant. Il est l’un de mes chroniqueurs Voyages.

Nicolas a écrit ses voyages entre deux avions, dans un aéroport, dans un hôtel ou lorsqu’il rentre chez lui dans le nord de la Norvège. 250 jours de voyages/an. Ça fait beaucoup !

@Nicolas Messner
@Nicolas Messner

Mais que fait-il me direz-vous ? Des photos vous répondrais-je, mais il est aussi directeur de « Judo for peace » pour la Fédération Internationale de Judo. Il se déplace de pays en pays pour accompagner de jeunes judokas, leur redonner espoirs, en sortir certains de la rue et les guider un peu aussi, leur donner des valeurs, celles d’un sport noble. Il rencontre aussi des pointures du judo qu’il connait bien puisqu’il est ceinture noire et ancien sportif de haut niveau.

C’est encore lui qui parle le mieux de son livre… Ça vous dit ?

Nicolas, ce n’est pas que le Judo. C’est aussi un photographe qui vit et respire par la photographie. Aussi doué dans les images que dans les mots, c’est sa fantastique personnalité qui fait la différence. C’est quelqu’un de foncièrement bon, de foncièrement humain, de foncièrement gentil.

@Nicolas Messner
@Nicolas Messner

Offrez-vous ce merveilleux livre pour vous sentir vivant, pour partager avec lui des émotions, des cultures différentes et pour retrouvez l’esprit de ses belles chroniques… Offrez-vous des espoirs qui vous feront dire que la vie est belle et surtout pour avoir la certitude que les Hommes sont juste incroyables quand on regarde la vie du bon côté. Car oui… Il y a tout un tas de belles choses dans ce monde et Nicolas nous les montre.

@Nicolas Messner
@Nicolas Messner

300 pages, 5 continents, 380 photos. Nicolas y raconte ses engagements et ce qu’il est à travers ses clichés et ses textes en français, comme en anglais. Il nous donne l’impression d’être là avec lui, de comprendre que le monde est différent et qu’il est magnifique. Il nous permet de devenir meilleur. Je suis partiale mes Adeladdicts, je sais, mais que voulez-vous, je suis une très très grande fan de Nicolas.

Pour commander le livre :

@Nicolas Messner
@Nicolas Messner

Sur la FNAC : https://livre.fnac.com/a13358333/Nicolas-Messner-Voyages-immobiles

Sur Amazon : https://www.amazon.fr/Voyages-immobiles-Nicolas-Messner/dp/2900315034/ref=sr_1_6?ie=UTF8&qid=1550851360&sr=8-6&keywords=nicolas%20messner&fbclid=IwAR0FLC4z-cBA5ROUKSXkBtq9rCSFa4fQACoU0j-pbtlzmo0KeYOwXtPoiRE

Vous pouvez aussi le commander (s’il n’y est pas déjà) dans votre librairie préférée.

N’hésitez surtout pas à vous faire plaisir en vous abonnant à sa page Facebook : Nicolas Messner – Inventeur d’images

Et/ou à son compte Instagram : @messnerphotography

Bonne lecture mes Adeladdicts !

Rencontre Renaissance du 27 mars autour de l’intuition

Savez-vous ce qu’est l’intuition ? Comment l’utilisez-vous ? Vous fiez-vous à elle ? Pour comprendre ce qu’elle est, Michel Podolak – que je vous ai présenté l’année passée dans le billet « Michel Podolak, Chef d’orchestre, conférencier et citoyen du monde »  – invite Victoria Pelle Reimers, mercredi 27 mars à 20 h (accueil à 19h30) à l’Agora, 64, Rue du Père Corentin à Paris (Porte d’Orléans). Cette conférence est offerte ! Seule condition : s’inscrire à pleindidees68@orange.fr

Depuis 15 ans, Victoria fait des recherches sur l’intuition. Maître praticien en PNL (Programmation Neuro Linguistique) depuis 2006, elle s’est spécialisée sur le champ des ressources inconscientes en rajoutant l’hypnose à ses compétences en 2008.

 

« Dans un monde où tout va de plus en plus vite, vous prenez vos décisions dans l’incertitude, votre inventivité est constamment sollicitée. Ne perdez pas de temps à tergiverser ; Écoutez votre intuition : elle est mieux informée que vous ! Dans un contexte flou, elle procure un discernement spontané. Vous hésitez encore ? C’est le moment de découvrir et comprendre cette ressource précieuse, et puis apprendre à l’utiliser pour mieux décider, anticiper, rencontrer, comprendre, explorer… »

 

L’entrée en matière de Victoria Pelle Reimers est intéressante. Si vous voulez en savoir plus, retrouvons-nous à cette conférence parisienne du 27 mars et/ou sur son site http://intuitionopensource.com/

 

Entreprises : Croître ou mourir, il faut choisir !

Depuis quelques temps, les nouveaux courants de pensées envahissent nos vies : qu’elles soient privées (développement personnel et bien-être) ou professionnelles (entreprises libérées et agiles). Quoiqu’il arrive, une chose ne changera pas : pour que tout cela existe, il faut faire du business, développer, pérenniser nos entreprises et créer des emplois.

Diriger une boîte n’est pas chose aisée : résistance, endurance, stratégie, connaissance, expertise, analyse, communication, action… Il existe autant de chemins à prendre qu’il n’existe d’orientations philosophiques et économiques à utiliser pour réussir à vivre de nos activités pleinement et sereinement (sereinement, ça c’est un mythe – disons sans trop de stress).

C’est bien joli tout ça, mais on fait comment ?

© Stocklib kantver
© Stocklib kantver

Et bien on s’inspire d’un bouquin bien foutu que j’ai reçu dans ma boîte aux lettres « Croître ou mourir, il faut choisir ! » brillamment rédigé par Gabriel Dabi-Schwebel. Le célèbre vlogueur, conférencier et expert en Com’ nous propose des clés percutantes en marketing, communication et gestion des ressources humaines dans ce guide. Il développe 14 conseils stratégiques pour développer nos entreprises et croître sans exploser… La réussite d’un business est parfois aussi dangereuse qu’un effondrement d’activité. Sauf que si nous pouvons gérer des problèmes de gestion la plupart du temps, il y a des facteurs dont il faut impérativement tenir compte pour, comme il l’explique : « sortir du rang et passer en hypercroissance ».

Ok, mais pourquoi ce livre est intéressant ?

© Stocklib goodluz
© Stocklib goodluz

C’est une excellente idée que Gabriel a eu en faisant un guide de cette façon-là. Ainsi présentés, les 14 chapitres sont tous indépendants les uns des autres. Vous ne pouvez en consulter que 2 ou 3, ceux qui vous intéressent principalement, ou les lire dans le désordre :

  1. Travailler sur soi pour devenir un dirigeant 5 étoiles, mettre de côté son ego et ses croyances limitantes pour se consacrer uniquement au succès de l’entreprise.
  2. Sortir du rang pour se démarquer par un positionnement différenciateur et une offre irrésistible.
  3. Devenir son propre média pour convertir son audience en client en s’appuyant sur l’Inbound marketing (référencement naturel, réseaux sociaux, etc.)
  4. Aborder les médias en partenaire pour les nourrir et enrichir vos relations presse.
  5. Collaborer avec les nouveaux influenceurs : ils peuvent vous faire gagner en notoriété à moindre frais.
  6. Faites de l’Outbound malgré tout, si vous en avez les moyens l’achat média peut être très efficace pour accélérer et piloter votre croissance.
  7. Piloter votre stratégie digitale avec le test and learn. La meilleure façon d’apprendre c’est de faire et de corriger de façon itérative.
  8. Automatiser votre marketing, de nouveaux outils permettent de systématiser vos actions marketing (email, réseaux sociaux, etc.). Bien utilisés ils peuvent se révéler d’une efficacité redoutable.
  9. Spécialiser vos équipes commerciales en particulier pour accomplir la prospection commerciale.
  10. N’oubliez par la fidélisation et la récurrence, un client fidèle coûte moins cher qu’un nouveau.
  11. Doubler vos prix, la meilleure façon de gagner de l’argent c’est de vendre plus cher.
  12. Choisissez bien vos équipes et formez-les, elles sont la clé de votre succès.
  13. Responsabiliser vos équipes, vous ne pouvez pas tout faire surtout si votre activité décolle.
  14. Passer à l’échelle !
© Stocklib Anna Bizoń
© Stocklib Anna Bizoń

Énergiques, positifs, clairs, accessibles (sauf quelques anglicismes pour ceux qui ne sont pas adeptes du langage des communicants), tous les thèmes sont abordés sans fioritures, allant droit au but. A la fin de chaque chapitre, un résumé (élégamment appelé « Essentiel ») sous forme de Top 5 reprend, de façon efficace et succincte, ce qui a été développé.

Et le contenu alors, il tient la route ?

© Stocklib goodluz
© Stocklib goodluz

Carrément ! Le contenu est vraiment captivant. Il donne une nouvelle vision de ce qui existe côté « Com’ globale » pour développer une activité, de ce qu’on connaît, de ce qu’on n’ose pas faire et/ou de ce qu’on n’ignore.

Lorsque Gabriel Dabi-Schwebel écrit « Ne soyez pas bons ou très bons, soyez remarquables », il ne se contente pas de nous orienter, il nous explique pourquoi :

« Être remarquable consiste donc à créer quelque chose qui vaut la peine d’être perçu, vu et reconnu dans votre offre. Comme une vache qui serait pourpre. Car ce qui n’est pas remarquable est invisible. Même un produit qualifié de « très bien » n’apporte rien, car il est ennuyeux. Pour sortir du rang, il faut être extraordinaire, inattendu, innovant, percutant et audacieux. Pour se démarquer, il faut oser prendre des risques, surprendre et faire parler de soi. Être le premier dans une niche est beaucoup mieux qu’être second dans un marché de masse. »

© Stocklib Roman Samborskyi
© Stocklib Roman Samborskyi

Tout ce que prescrit Gabriel est incontestable, évident, et tellement logique que cela devrait être du sens commun pour un chef d’entreprise. Malheureusement, être un dirigeant aujourd’hui se résume souvent à être une vache à lait pour l’État. En ne devenant plus qu’une pompe à fric pour payer la multitude de taxes qui existent et d’impôts en tout genre, les entrepreneurs sont pris dans le cercle vicieux de la production coûte que coûte. Les créateurs d’entreprise perdent alors de vue ce pour quoi ils ont créé leur propre emploi et l’essentiel qui font d’eux des indépendants : être novateurs, libres et experts. Le patron qu’est Gabriel Dabi-Schwebel, nous le rappelle : la passion et la stratégie doivent toujours nous habiter lorsque nous sommes à la tête de nos boîtes ou en charge du business dans une entreprise.

Et puis, il aborde ces nouveaux canaux de communication que sont les influenceurs pour développer nos e-réputations :

« Avant de se précipiter pour contacter un influenceur, il faut prendre le temps de réfléchir et de poser les choses. Parce qu’ils sont tous très sollicités, les influenceurs ne peuvent pas répondre positivement à toutes les demandes de partenariat. C’est donc un entretien d’embauche à l’envers. Pourquoi devrait-il travailler avec vous ? Quels sont vos valeurs, vos produits ou votre offre qui seraient susceptibles de l’intéresser ? En quoi le profil de votre marque peut-il apporter une plus-value à sa communauté ? »

Aucun sujet ne reste sans réponse. Il nous amène à réfléchir sur nos entités et ce que nous faisons pour elles (comment et pourquoi aussi). Il nous guide vers des solutions que nous pourrions adapter à nos entreprises.

© Stocklib ammentorp
© Stocklib ammentorp

Lorsque par exemple, Gabriel nous explique qu’il faut augmenter nos prix, il touche une thématique sensible voire tabou selon notre profil. Que nous soyons patron d’une industrie, d’une PME-PMI, artisan, commerçant ou libéral, nous devons tous faire face à nos clients. Si nous voulons sauvegarder les jobs de nos salariés, recruter, développer nos chiffres d’affaires, en dehors de fixer nos prix en rapport avec nos frais fixes, nos coûts de revient, nos marges et/ou ce que nous estimons valoir, il faut être ou devenir audacieux sans aucun doute.

« Remplacez dans l’esprit des consommateurs la notion de prix d’achat par celle de coût d’application. Ainsi, vous remplacez le concept de prix brut par celui d’usage et de valeur immatérielle associée à votre image de marque. Un terme complémentaire à cette notion de valeur, celui d’engagement de votre firme dans son rôle sociétal, souvent lié à l’écologie, à l’environnement ou plus simplement au bien-être. »

 

© Stocklib Anna Bizoń
© Stocklib Anna Bizoń

Sans compter que pour étayer quelques évidences qui nous échappent lorsqu’on a le nez dans le guidon, Gabriel joue avec des citations chocs qui nous secouent. C’est aussi un excellent moyen mémo-technique pour ne pas oublier ses conseils :

 

  • « Si vous ne prenez pas soin de vos clients, vos concurrents s’en chargeront » de Bob Hooey
  • « Il ne suffit pas de parler, il faut parler juste » de Shakespeare
  • « Le prix est ce que vous payez. La valeur est ce que vous obtenez. » de Warren Buffett…

Gabriel Dabi-Schwebel ne tient pas que des propos de communicant. Ils sont issus de son domaine d’expertise, de son expérience mais aussi et surtout de sa logique de chef d’entreprise.

D’ailleurs il sort d’où ce type pour écrire ça ?

Gabriel Dabi-Schwebel by 1min30.com
Gabriel Dabi-Schwebel by 1min30.com

Gabriel Dabi-Schwebel est le fondateur de l’agence d’Inbound Marketing 1min30.com. Il navigue dans la communication depuis 1996. A lui tout seul, c’est plus de 20 ans d’expérience dans différents médias (le digital n’est pas sa seule inclination). La télévision a fait partie de son panel de prédilection en tant que directeur délégué du pôle TV du groupe Lagardère.

Après un MBA Overview qu’il obtient à l’université de New York, Gabriel a élaboré une vision d’ensemble du métier d’entrepreneur : comment le devenir, le vivre et le rester.

En résumé…

Ce livre est un éclairage plutôt punchy sur l’image que renvoient notre boîte et ses forces vives. Il donne toutes ses lettres de noblesse à notre communication, nos valeurs, notre réussite et le fait d’être un dirigeant 5 étoiles dans l’idéal. Ce guide est a conservé dans notre sac de travail, notre sac à mains, sur notre bureau ou notre table de chevet parce qu’il est facile à prendre en mains pour le lire de manière traditionnelle ou de façon décousue.

© Stocklib Dmitriy Shironosov
© Stocklib Dmitriy Shironosov

Il me plaît d’autant plus qu’il est un peu de fraîcheur positive dans un monde économique morose où le seul leitmotiv est que « tout va mal ». Bref avec ce bouquin, Gabriel Dabi-Schwebel ne nous offre pas qu’une vision progressiste, mais aussi quelques méthodologies concrètes pour nous booster ! C’est normal vous me direz, quand je vous révélerai que Gabriel est l’un des pionniers du l’inbound Marketing en France puisque son job est d’aider les entreprises à devenir leur propre média et nous aide à convertir notre audience en clients !

Pour commander cet ouvrage…

« Croître ou mourir, il faut choisir ! » Prix : 19,50€