Isabelle Autissier, du nord au sud…

CVT_Lamant-de-Patagonie_1816« Combien faut-il de jours et de nuits pour oublier ce qui vous a fait vivre, ce qui vous a importé plus que tout ? Les événements passent sur moi et je suis devenue la pierre immobile qui se couvre peu à peu de ce lichen jaune vif. »

Fabuleux, intenses… Ces mots sont ceux du vibrant roman « L’amant de Patagonie » d’Isabelle Autissier. C’est l’histoire d’Emily, une femme déracinée de sa terre natale pour arriver en Patagonie en 1880. Elle tombe amoureuse d’un indien, en marge de la civilisation blanche. Sa passion, sa liberté, ses choix, jusqu’au drame…

SAILING - BOC CHALLENGE 1994/1995 - PHOTO : JACQUES VAPILLON / DPPI - ISABELLE AUTISSIER - ECUREUIL POITOU CHARENTES - ON BOARD
SAILING – BOC CHALLENGE 1994/1995 – PHOTO : JACQUES VAPILLON / DPPI – ISABELLE AUTISSIER – ECUREUIL POITOU CHARENTES – ON BOARD

Pour moi, comme pour beaucoup de personnes je pense, Isabelle Autissier est la première femme à avoir fait le tour du monde en solitaire lors du BOC Challenge en 91, cette navigatrice intrépide qui a fait le Cap Horn plusieurs fois. Point. Pourtant, elle est une femme bien plus complexe qu’il n’y paraît. C’est une femme aux multiples activités. Riche d’expériences et de talents, elle a su s’imposer dans un monde masculin sans brutalité ni affrontement. Elle a su conquérir le respect de tout un chacun en étant juste elle-même, car elle m’explique que les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes atouts.

Isabelle Autissier, l’écrivaine

Stocklib dimaberkut
Stocklib dimaberkut

Ça serait réducteur de croire qu’Isabelle Autissier est uniquement navigatrice. Elle ne passe pas son temps à sillonner les océans, seule face aux imprévus, aux intempéries, aux avaries, à la solitude. Naviguer, c’est vivre le temps présent. Ressentir. Penser. Imaginer… C’est peut-être ça qui lui a permis de coucher des mots, les uns après les autres, de cette façon-là.

IsabelleAutissier-6-novembre-2007-
IsabelleAutissier-6-novembre-2007-

Son écriture s’est affinée lorsqu’elle livrait son témoignage en collaborant avec Antoine Séguillon, journaliste, Eric Coquerel, communicant spécialiste du monde politique, Erik Orsenna, écrivain et membre de l’Académie Française, ou encore Lionel Daudet, alpiniste écrivain. Mais c’est en écrivant seule, qu’à mon sens, elle prend toute sa dimension : « Soudain, seuls » (2015), « L’amant de Patagonie » (2012), « Seule la mer s’en souviendra » (2009), « Kerguelen » (2006).

© Stocklib Teerawut Masawat
© Stocklib Teerawut Masawat

Emouvante, elle écrit si bien, si précisément sur le ressenti. On ne peut deviner où est la réalité, le vécu et la fiction. Emouvante, c’est ce qui m’a le plus étonné venant justement d’une navigatrice, qui est forcément solide et faite en acier trempé pour être capable de faire en le tour du monde en solitaire. Mais ça, ce sont des préjugés… Je vous encourage vivement à la découvrir dans ses bouquins où les personnages sont parfois vulnérables, fragiles, juste humains…

Isabelle Autissier, la navigatrice

© Stocklib dmbaker
© Stocklib dmbaker

Organisée, directe, franche, cultivée, audacieuse, cette femme m’a toujours intrigué. Et pour cause : que se cache-t-il au fond des marins qui affrontent un gros temps, quand ils sont en plein milieu d’un océan déchainé et que peut-être, ils pensent leur dernière heure arrivée ? Quelle est sa plus grande peur encore aujourd’hui malgré son expérience ? Elle reste stoïque et me répond que son pire cauchemar serait qu’un de ses co-équipiers tombe par-dessus bord. Moi, la froussarde, je frémis devant sa réponse. Elle a peur pour les autres, pas pour elle. Je la prends pour une survivante, solide et fière amazone.

© Stocklib aragami12345
© Stocklib aragami12345

Je passe de la frayeur à son souvenir le plus marquant. Réponse qui me rassure et m’apaise pour la suite de l’interview : « Ma rencontre avec les mers du Sud, pour leur lumière, la plénitude qui s’en dégage, le bonheur… ». A n’en pas douter, c’est encore la preuve que la coriace Isabelle Autissier semble être quelqu’un de sensible, même si elle paraît inébranlable.

© Stocklib Andrey Kobylko
© Stocklib Andrey Kobylko

Si maintenant, elle ne navigue que deux mois par an, elle est néanmoins débordée. Il est loin le temps où elle démâte en 94 lors du BOC Challenge et où son bateau est détruit par une vague au sud de l’Australie.

Il est loin le temps où elle met au point la construction d’un 60 pieds pour participer au Vendée Globe de 96 grâce à Jean-Marie Finot, Architecte, au constructeur Marc Pinta et à son sponsor PRB (Produits de Revêtements du Bâtiment).

© Stocklib strannikfox
© Stocklib strannikfox

Il est loin le temps où dans cette même course, elle fait demi-tour pour essayer de retrouver Gerry Roufs perdu en pleine tempête. Sa balise Argos émettait toujours alors elle l’a cherché, cherché, cherché encore… Mais elle ne le trouvera pas et reprendra sa route après avoir couché son bateau plusieurs fois à cause des conditions extrêmes qu’elle rencontrera.

© Stocklib Massimiliano Leban
© Stocklib Massimiliano Leban

En 99, son bateau chavire et reste à l’envers pendant l’Around Alone (course en solitaire autour du monde). C’est Giovanni Soldini, un skipper, qui finalement viendra à son secours. En découlera probablement cette décision d’arrêter les courses en solitaire.

Côté activités !

© Stocklib Dean Drobot
© Stocklib Dean Drobot

Naviguer, c’est aussi manager une équipe avant, pendant, après les courses, gérer son stress, celui des autres, des conflits, recruter les bons co-équipiers, chercher des partenaires, des sponsors, gérer une entreprise. C’est un job qui demande moult compétences et tellement d’investissements dans tous les sens du terme. C’est comme ça qu’elle est devenue une femme aux multiples activités, parfois présente où l’on ne s’y attend pas.

Présidente de WWF France depuis 2009, l’engagement d’Isabelle Autissier fait d’elle, une femme d’action. Je vous rappelle que WWF est une ONG dédiée à la préservation des espaces et des espèces sauvages les plus menacées.

© Stocklib Ivonne Wierink
© Stocklib Ivonne Wierink

Ça ne lui suffit pas. Passionnée par la culture scientifique (elle a un diplôme d’ingénieur agronome) et par la biodiversité marine et des espaces littoraux, elle est Présidente de l’E.C.O.L.E. de la Mer, structure chargée de communiquer sur ses thèmes de prédilection en informant et en enseignant.

Son combat écologique s’étend à l’Agence Française de la biodiversité dont elle est administrateur. Combat primordial pour elle, car elle milite pour préserver ce qui est la passion de sa vie, les océans.

61V6yaZNAVL._SX258_BO1,204,203,200_Elle se produit aussi sur scène avec un nouveau spectacle « Une nuit, la mer » et écrit pour les enfants. En 2017, elle publie « Zoé et les sardines ». Elle participe à des salons littéraires, préface des revues, est présente dans les médias et a fait de la radio pendant de longues années notamment à France Inter.

 

Isabelle Autissier
Isabelle Autissier

Et pour finir, sachez qu’elle partage son expérience de manager, de dirigeante. Elle donne des conférences au sein des entreprises où elle aborde la cohésion des équipes, le développement personnel, le montage de projets.

« L’aventure, c’est sortir de ses certitudes et accepter d’aller vers une réalité qui nous bouscule »

© Stocklib Anna Om
© Stocklib Anna Om

Quand j’interroge Isabelle sur le conseil qu’elle donnerait à quelqu’un qui a un rêve à réaliser, elle me répond sans ambages « On n’a rien sans rien ! ». La pugnacité semble être un maître mot dans ce domaine. Je ne peux m’empêcher de penser que cette femme qui a lutté contre les forces de la nature est une femme dans tout son être, bien accrochée aux réalités de la vie.

© Stocklib mihtiander
© Stocklib mihtiander

A la fin de l’interview, je reste pensive. Je suis encore plus admirative devant son incroyable parcours. Je suis heureuse d’avoir pu discuter avec cette amazone. Elle se préoccupe tant des autres et de notre avenir sur la Belle Bleue dont les ressources et l’immensité pourraient bien se tarir si nous n’y prenons pas garde. Un peu abasourdie par cet échange, Isabelle Autissier me fait penser à ce qu’Ernest Hemingway avait dit au New Yorker en 1950 et qui est toujours d’actualité : « Le temps est la plus petite chose dont nous disposons ».

Slasher ou l’avenir de la génération Z !

Je vais vous faire une confidence : je suis une slasheuse et fière de l’être ! Savez-vous ce que c’est ? C’est le fait de cumuler plusieurs jobs. Ça, au vu de l’évolution du monde du travail, c’est l’avenir. Surtout pour les jeunes. C’est une évidence. Continuer la lecture de « Slasher ou l’avenir de la génération Z ! »

Michel Podolak, Chef d’orchestre, Conférencier et Citoyen du monde

Lors d’une conférence dans un club de chefs d’entreprise, j’ai rencontré un homme heureux, positif et inspirant : Michel Podolak, chef d’orchestre, conférencier et citoyen du monde. C’est peut-être l’une de mes plus belles rencontres parce qu’il poursuit son chemin tel qu’il a envie de le faire. Libre penseur qui n’a plus rien à prouver, il a cette sérénité et cette humilité qui font les hommes bien dans leurs baskets.

Michel Podolak by Adélaïde
Michel Podolak by Adélaïde

Chef d’orchestre aux multiples talents, il donne de nombreuses conférences sur le thème de l’art de diriger avec un management différent. Leadership, management, cohésion d’équipes… Autant de compétences à son arc pour une coopération en action dans le monde de l’entreprise. Son expérience ? Il la tient de son métier. Diriger des orchestres avec des centaines de personnes qui jouent dans un mouvement précis, d’une voie unique, harmonieusement, demande des aptitudes inouïes en matière de relations humaines.

Vous ne faites pas partie des privilégiés qui ont vu Michel Podolak en conférence ? Voici 18 mn sur l’art de la coopération… Révélation !

Chef d’orchestre ? Mais pourquoi et comment ?

© Stocklib stokkete
© Stocklib stokkete

Pianiste dès l’âge de 6 ans, le petit Michel tombe en amour. Celle qui lui fait perdre la tête et lui prend le cœur, c’est la musique. Elle lui ouvre des horizons incroyables et complètement fous. Il ne le sait pas encore, mais la musique sera sa raison de vivre. A 11 ans, il lui arrive un truc de dingue. Il chante dans une chorale de 500 personnes. Non mais, imaginez le truc grandiose ? Du Jean-Sébastien Bach en plus. Et c’est là, juste à ce moment très précis que sa fascination pour la direction de musiciens pointe le bout de son nez. Adolescent, Michel dirige des musiciens imaginaires dans sa chambre « Je ventilais ma chambre, tout le temps, avec de grands gestes ! » me raconte-t-il en souriant.

@Shutterstock
@Shutterstock

Lorsqu’il annonce à ses parents qu’il veut être Chef d’orchestre, ils lui conseillent de passer son bac avant de « voir où cela le mène ». Ils font preuve d’ouverture d’esprit et savent, je pense, que leur fils est brillant. Sa passion chevillée au corps, Michel fait 3 ans études après son bac à la Sorbonne entre autres où il obtient une licence en musicologie, puis 5 années au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. De nombreuses Master Class aux Etats-Unis termineront l’enseignement de cet homme surdoué.

Une carrière internationale impressionnante…

Michel Podolak
Michel Podolak

A 20 ans, Michel Podolak dirige son premier concert, puis c’est la direction de plusieurs orchestres un peu partout dans le monde : France, Suisse, Hongrie, Russie, Slovaquie, Serbie, Italie, Norvège, Danemark… Il œuvrera aussi aux opéras de Tours, Saint-Etienne et Nice. Il acceptera la direction artistique, pendant 4 années, du Chœur et de l’Orchestre des Grandes Ecoles de Paris. Puis il deviendra Délégué artistique de l’Académie Européenne de Musique du Festival International d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence.

Une nouvelle vision de l’art de diriger…

Mais la rencontre qui changera sa vision de la direction d’orchestre, c’est en 1988, avec Charles Bruck aux Etats-Unis, qu’il l’acquiert. En dehors de son enseignement pour la direction d’orchestre, il lui enseigne l’engagement, l’humilité, l’écoute, la confiance, la transmission…

« « Le Maestro » dirigeait d’une main de fer mais avec une humanité immense » précise Michel Podolak.

C’est le début d’une vision différente de l’art de diriger.

© Stocklib stokkete
© Stocklib stokkete

Devenu un chef d’orchestre d’excellente notoriété, Michel Podolak est loin du monde de l’entreprise. Et pourtant, c’est ce monde-là qui le rattrape en 1991, lorsque Jean-Marie Becq, Consultant en développement personnel lui téléphone après l’un de ses concerts. Celui-ci lui propose d’intervenir au Centre de Recherche et d’études des Cadres. Son expérience dans la coopération, le leadership, et le management est une aubaine pour des dirigeants d’entreprises. Le respect, l’autonomie, adopter la bonne posture en tant que dirigeant, font appel selon Michel Podolak, à l’humain tout simplement. Depuis, il enseigne, forme, donne des conférences issues de son expérience.

© Stocklib Cathy Yeulet
© Stocklib Cathy Yeulet

J’avoue, pour avoir assister à l’une de ses conférences qu’elles sortent de l’ordinaire. Ce n’est ni ennuyeux, ni condescendant comme la plupart des conférences sur ce thème. Par des constatations et des exercices, il amène son auditoire à réfléchir et à en déduire les évidences qui s’imposent d’elles-mêmes. Ce sont le fait d’amener les personnes avec qui nous travaillons à l’autonomie et la bienveillance qui font la différence. Et si ce dernier mot paraît parfois galvaudé, il prend là tout son sens.

Un engagement différent…

Michel Podolak
Michel Podolak

Je vous disais que Michel Podolak est un citoyen. Ce que je veux dire par là, c’est que bien qu’il soit un homme hors du commun qui a une agréable existence, il se préoccupe des autres… Et sa rencontre avec Eric Julien va être un agent déclencheur. Son implication, il l’offrira à « Tchendukua », l’association d’Eric.

Eric Julien est Consultant et Géographe. Il a créé « Tchendukua » après avoir été sauvé par des indiens Kagaba Kogis, alors qu’il était laissé pour mort dans les montagnes colombiennes. Cette asso a pour but de leur rendre les terres qui leur ont été prises. Leur rendre leur dignité, leur culture, leur permettre d’exister. Ses actions donnent la possibilité à Eric de leur rendre un peu de la vie qu’ils lui ont rendu en venant à son secours.

© Stocklib Dmitry Ilyshev
© Stocklib Dmitry Ilyshev

Michel Podolak est le Vice-Président de cette asso et s’investit littéralement. Il s’occupe de la com et participe à la collecte de fonds pour racheter des hectares si précieux à la vie des Kagaba Kogis. Aujourd’hui, ils en sont à 1700 hectares et devraient arrivés à 500 hectares de plus d’ici 3 ans.

Une personnalité décalée…

OLYMPUS DIGITAL CAMERA
OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Michel aurait pu se contenter de jouir de l’aura solaire et nébuleuse de ce métier bien mystérieux de Chef d’Orchestre. Il aurait pu se satisfaire d’être adulé, vénéré, pris pour un Dieu comme le sont les Chefs d’Orchestre réputés, mais vous l’aurez compris, ce n’est pas un homme ordinaire. Son humilité, son goût du partage, sa vision positive de la vie, sa gentillesse, son humour sont naturels chez lui.

Cette générosité n’est pas feinte. Il aime les gens. Il les aime pour de vrai. Et avoir Michel Podolak dans son entourage est un vrai cadeau, un courant d’air frais. Mais ce que je n’oublierai pas, c’est son conseil :

« Combien de femmes font exactement ce que tu fais Adélaïde ? Il n’y a que toi ! Tu es unique ! Chacun de nous est unique. La seule chose que nous avons tous en commun, c’est de sortir de notre maison pour vivre des choses, d’autres choses. Alors lorsque quelqu’un me demande un conseil pour réussir à réaliser ses rêves, j’ai juste envie de répondre : Sors de chez toi… Fonce ! »

Profitons encore un peu de Michel Podolak, avec le questionnaire de Proust revu et corrigé la fin de cette interview…

A la fin de cette rencontre, j’ai demandé à mon invité de répondre au questionnaire de Proust revu et corrigé. Proust, encore adolescent, avait répondu à 35 questions du célèbre jeu anglais à la mode au XIXème : «Confessions ». Le voici remis au goût du jour avec moins de questions et revisité, pour découvrir ses goûts, ses aspirations et peut-être ses secrets.  Celui-ci est publié tel que mon invité y a répondu :

Questionnaire Ange ou Démon :

  1. Mon pire défaut : si c’est un défaut à vie, je ne sais pas. Pour le reste, j’y travaille.
  2. La qualité que je ne voudrais surtout pas avoir : Si c’est une qualité, je voudrais l’avoir. Sinon, je n’en voudrais pas.
  3. Blonde ou brune ? « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant. D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime. Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même. Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. () Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l’ignore. Son nom? Je me souviens qu’il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila. » Verlaine
  4. Plutôt sado ou plutôt maso ? Plutôt maso : prêt à me sacrifier pour ne pas renoncer à ma parole, quitte à me mettre dans des situations impossibles.
  5. Mon vice préféré : le chocolat, la compote de pommes
  6. Cigale ou fourmi ? Cigale, bien sûr. Je chante, du soir au matin, je chante…
  7. Plutôt ange ou plutôt démon ? Demi-ange : je n’ai qu’une aile à mon nom (l). Alors peut-être demi démon ?
  8. J’ai déjà menti au sujet de… Je me suis menti au sujet de tas de choses, mais c’est mon problème. Menti aux autres, cela a dû m’arriver, je ne suis qu’un demi ange. A quel propos ? J’ai oublié.
  9. Mer ou montagne ? Désert
  10. En solo ou en duo ? En solo.
  11. Le rêve le plus fou que je n’ai pas encore réalisé, c’est…, atteindre les étoiles
  12. Ma course préférée : sprint, marathon ou trail… Je déteste courir. Pourquoi faire ?
  13. Je préfère être perfide, naïf ou belliqueux : naïf, au moins je ne fais pas de mal aux autres
  14. Le site/blog/application que j’aime le moins, c’est… tout ce qui colporte de la pensée raciste, intolérante…Tout ce qui me fait du mal, tout ce qui fait du mal aux autres.
  15. Ma devise, c’est… « Quand tu restes chez toi, rien ne peut arriver. Quand tu sors de chez toi, tout peut arriver ».

Retrouvez Michel Podolak, son site : www.mpodolak.com

Un nouvel espace de santé naturelle à Saintes

Je vous ai déjà présenté Laure il y a quelques mois dans un billet :  « Laure Gueilhers, entre science et traditions millénaires ». Elle est réflexologue-relaxologue.

Où en est-elle maintenant ? Elle ouvre un nouvel espace de santé naturelle à Saintes qui nous permettra de rencontrer plusieurs spécialités :

Continuer la lecture de « Un nouvel espace de santé naturelle à Saintes »