Tabatha Houguenague

Songe d’une nuit d’été est un clin d’œil à Shakespeare pour avoir remis au goût du jour les fées et les elfes alors qu’ils avaient disparus de la littérature pendant plus une centaine d’années. Vous allez découvrir, dans quelques instants, que les superbes clichés de Tabatha Houguenague nous prouvent que les fées existent.

Tabatha Houguenague, c’est un univers féérique, suave, féminin, léger. Son travail est d’une perfection hallucinante. Elle, est juste fascinante.

J’ai découvert son travail grâce à notre ami commun, Andy Corbras, l’un de mes chouchous que vous connaissez bien maintenant. Le regard de Tabatha est d’une sensibilité incroyable, d’une grande finesse, et d’une infinie douceur… Elle nous emmène ailleurs, si loin de nos tracas quotidiens…

Elle a une vision unique de la Femme. Elle les rend belles. Ni sexy, ni tentatrices, juste ensorceleuses, charmeuses, inaccessibles. Les enfants, quant à eux, sont merveilleusement espiègles et adorables. Tous ses modèles baignent dans un univers magique, qu’il est insupportable de quitter. Vous l’aurez compris, je suis une de ses inconditionnelles fans.

C’est aussi une femme qui a de fabuleuses idées de femme : une nouvelle prestation « Prestige » avec des robes couture ! Rien de moins pour que nous soyons encore plus jolies, plus étonnantes… J’adore !

Son parcours n’est pas ordinaire. Ebéniste, restauratrice de meubles d’art, puis tailleuse de diamants, elle a vécu en Polynésie pendant quelques années où elle a découvert la photographie. Inspirée par des artistes locaux tels que Jean-Philippe Yuam, Lucien Pesquié, Cyril Just-C, ou encore Teiki Dev, elle s’est aussi intéressée à des photographes américaines dont les œuvres ont trouvé une certaine résonance en elle : Lisa Holloway, Jake Olson, Meg Bitton.

Remerciements de Tabatha à : ses modèles, Inès Corbras modèle, Emi Mod’Hell,  Sabrina de « Belle en Tutu », Leen Rosangel maquilleuse, Eva Britz Tessier, muse, amie et coiffeuse, et un fournisseur d’articles pour nouveau-nés et de grossesse « Zaza d’amour ».