L'artiste
Oeuvre à la une
Article Éphémère Galerie
« Bon sang ne saurait mentir » dit-on. Je suis convaincue que pour mon invité de cette semaine, ce dicton est vrai. Il s’agit d’Antoine Jahier, le fils du photographe de presse Laurent Jahier, un des chouchous du blog.
Ce beau gosse a baigné toute sa vie dans un mélange de culture photographique, musicale, littéraire et politique. Ainsi ce tout jeune photographe n’a pas sa langue dans sa poche, et témoigne, grâce à la photographie, de ce qui lui plaît. Passionné d’astronomie, de littérature, de sport (beaucoup – Antoine pratique plusieurs boxes, du culturisme, du running, de la rando, du vtt…), de jeux vidéo, de cinéma, de mangas et de tatouages, vous le retrouverez dans les colonnes du blog ou au détour d’un concert, au comptoir d’un pub, à un match du Stade Rochelais ou avec un sac à dos dans les Pyrénées.
Aujourd’hui, c’est sa toute première expo photos : forte, sombre, et puissante. Il révèle avec ses 20 photographies, que le sport symbolise pour lui, constance, endurance, performance et qu’il y a toujours de nouveaux défis à relever dans la vie.
« Les efforts constants donnent toujours du résultat. C’est vrai à tous les niveaux dans la vie… Enfin, je crois… »
Le modèle de cette expo est un des potes sportifs d’Antoine : Lucas ! Il est haltérophile, culturiste et boxeur. La séance a eu lieu dans un endroit qu’ils affectionnent tout particulièrement : la salle de leur copain Micka (culturiste et haltérophile aussi) qui gère la salle de musculation à Saint-Savinien.
Mais comme un corps bien fait, ne vaut rien sans une tête bien pleine, je vous encourage à vous abonner à son compte Instagram. Vous y découvrirez des photographies de sport certes, mais aussi de paysages, et quelques post très motivants et parfois même, quelques citations que j’adore comme le poème préféré de Mandela :
Dans les ténèbres qui m’enserrent
Noires comme un puits où l’on se noie
Je rends grâce aux dieux, quels qu’ils soient
Pour mon âme invincible et fière.
Dans de cruelles circonstances
Je n’ai ni gémi ni pleuré
Meurtri par cette existence
Je suis debout, bien que blessé.
En ce lieu de colère et de pleurs
Se profile l’ombre de la Mort
Je ne sais ce que me réserve le sort
Mais je suis, et je resterai sans peur.
Aussi étroit soit le chemin
Nombreux, les châtiments infâmes
Je suis le maître de mon destin
Je suis le capitaine de mon âme.
Bonne semaine mes Adeladdicts !
Son compte Insta : @antoine_jahier
Culture Sport